Mon vol en parapente

La chaleur est insupportable, ces derniers jours. Raison pour laquelle j’aimerais revenir dans ce billet sur un moment vraiment rafraîchissant que j’ai réalisée samedi dernier, lors d’un baptême de parapente à la montagne. Ce sont des amis qui m’ont poussé à tenté l’aventure, et  cette balade m’a ébloui. C’est à des années-lumière d’un vol classique. Sans bruit de moteur, sans cockpit, où l’on est à l’air libre, et où l’on a la sensation de ne plus rien peser : c’est tout simplement captivant. Et bien évidemment, le paysage était sidérant de beauté ! Cette escapade là-haut a même eu un effet inattendu, pour tout dire. De retour sur la terre ferme, j’ai en effet rendu compte durant toute l’expérience, j’avais été totalement dans l’instant. Et c’est carrément anormal, pour celles et ceux qui me connaissent ! Dans la vie courante, j’ai toujours truffé de pensées parasites. Je cogite à une multitude de trucs qui n’ont aucun rapport. Par exemple, là, je réfléchis à l’actu du moment. Aux dernières déclarations fracassantes de Trump, au fait que Valls est parvenu à se faire réélire comme parlementaire, au fils de Valérie Trierweiler qui a été arrêté par la police. Je pense également à ce type qui va recevoir 810 000 euros parce qu’on lui a enlevé le mauvais testicule. Toutes ces réflexions me remplissent le cerveau sans que je puisse rien fair. Et même lorsque je réalise des activités sympas, ces pensées disparaissent rarement entièrement. Mais là, dès que nous nous sommes envolés et où je me suis laissé porter, je n’ai plus pensé à rien. J’ai eu le sentiment l’espace d’un instant de redevenir un marmot qui découvre ce qui l’entoure sans se laisser distraire. Clairement, si vous appréciez les sensations, faites-le : c’est un de ces moments qu’on n’oublie pas ! Vous pouvez voir à quoi ça ressemble sur ce site. A lire sur le site de baptême en parapente dans les Pyrénées.

La technologie au service de l’homme

La technologie change nos façons de vivre, de travailler, de penser mais comment peut-elle rester sensible à l’humain ? Le rôle social de l’entreprise, sa raison d’être, sont indissociables d’une réflexion sur le rôle social de la technologie : comment penser cette dernière pour qu’elle devienne humaniste et inclusive ?  Force est de constater que la technologie change nos façons de vivre, de travailler, de penser mais qu’elle est, en elle-même, insensible à l’humain. Simple moyen au service de fins qu’elle ne fixe évidemment pas elle-même. Voyez les robots : assistants de vie attentionnés ou robots tueurs et autres drones de combat autonomes selon la façon dont on les programme et les buts auxquels on les destine.  – Connecter les gens entre eux via des plateformes les rend-il meilleurs ? Plus ouverts aux autres, plus solidaires ? Plus intelligents ?  – La réduction des inégalités passe-t-elle par une augmentation tendancielle de la digitalisation ? Le numérique est-il créateur d’emplois et de valeur aussi pour les plus vulnérables, et peut-il faciliter leur entrée ou leur maintien sur le marché du travail ?  – Les grands acteurs de la Tech et du numérique ont-ils une responsabilité sociétale au service du bien commun ? Ou sont-ils juste des « pure players » d’un jeu dont la règle est la loi du plus fort ? Fin mai dernier, à la veille du salon VivaTech, s’est tenu à l’Elysée le sommet « Tech for Good » au cours duquel les géants du numérique ont pris des engagements sociétaux, notamment en matière d’éducation et de formation du plus grand nombre au numérique. Volonté sincère et durable ? Effets d’annonce ? Façon de se « racheter » après des scandales retentissants genre Cambridge Analytica ?

Pour plus de longévité au pouvoir

Ce n’est vraiment pas par le caractère de leur gouvernement que les grandes républiques ont manqué d’équilibre; cela est dû au fait que l’expérience est née dans les seins de violentes tempêtes, c’est toujours dans un état d’exaltation qu’ils sont mis en place. Seulement le travail de la philosophie était arrangé calmement. Cette république, les Etats-Unis, pleine de connaissance et de pouvoir, révèle cet événement, chaque jour leur succès révélant un accroissement qui étonne les autres nations. Ainsi, il était limité au tout nouveau monde de former à l’Ancien que l’existence pouvait être faite et pacifique sous le règne de la liberté et de l’égalité. Bien entendu, j’affirme que, chaque fois qu’un nouvel achat de matériel peut être fondé sans avoir d’effets partisans inquiétants, le consul initial l’a fait, principalement après la sérénité d’Amiens, de sorte que, s’ils peuvent continuer à le faire, cela devient beaucoup plus facile. former une république sans avoir l’anarchie comparée à une monarchie sans le besoin de despotisme. Pourrait-on imaginer une limite qui ne soit pas illusoire dans un gouvernement où le primaire dispose de tout le pouvoir professionnel dans la main et de tous les points à attribuer? Ils ont peut-être parlé d’entreprises qui produisent chacun de ces excellents résultats. Avant de recommander la construction d’une monarchie, ne devrions-nous pas au préalable nous assurer et montrer à ceux qui doivent voter dans la requête que ces institutions particulières suggérées se trouvent dans l’ordre des points réalisables, et non des obstructions métaphysiques, qui ont été conservées un reproche sur le processus inverse? À cette époque, rien n’est conçu pour contrôler efficacement le pouvoir suprême, mais seulement ce que l’on appelle des organismes ou des droits intermédiaires. Serait-ce donc votre nouvelle noblesse que vous pourriez communiquer chaque fois que vous faites allusion aux institutions? Mais ce genre de traitement n’est-il pas pire que la maladie? Car l’énergie définitive d’un monarque ne requiert que notre liberté, tandis que l’école des classes privilégiées nous prive simultanément de la liberté et de notre égalité. Et si, même au commencement, les dignités et les tarifs n’ont été que personnels, nous comprenons qu’ils accompliront généralement les fiefs d’autres époques pour devenir héréditaires.