Pas de rivalité Clinton-Trump

« Je ne cours pas, mais je vais continuer à travailler, à défendre et à défendre ce que je crois », a déclaré Mme Clinton à la chaîne de télévision News 12 de New York. Il était généralement prévu que Mme Clinton deviendrait la première femme présidente des États-Unis, avant la défaite choquante de M. Trump en tant que candidate démocrate en 2016. Interrogée par News 12 si elle se présenterait de nouveau à une fonction publique à l’avenir, elle a déclaré: « Je ne ne le pense pas.  » L’entretien d’embauche est la toute première fois que Mme Clinton réfute définitivement l’hypothèse qu’elle pourrait éventuellement confier à nouveau M. Trump en 2020. Elle a expliqué qu’elle avait parlé à quelques-uns des candidats déclarés aux perspectives démocratiques pour 2020. « J’ai informé chacun d’eux, n’acquérez rien du tout sans considération », a-t-elle mentionné. Mme Clinton a été la première femme candidate à la présidence à réunir un grand rassemblement américain dans l’histoire du pays. Elle était accusée de s’appuyer excessivement sur de riches donateurs, trop proche de Wall Street et hors de contact avec les électeurs plus jeunes, bien que son accession à la haute direction soit largement considérée comme quasi garantie. Elle a été pillée sans relâche par M. Trump, qui a encouragé des foules de personnes dans le processus de promotion pour chanter « Attachez-la ». Sa conquête a encouragé une période de recherche d’âme pour le rassemblement démocratique, qui se prépare maintenant pour tout concours de primaire vaste et ouvert qui a déjà remarqué que plus de 10 prétendants publient une œuvre. Le sénateur du Vermont et grand finaliste démocrate de 2016, Bernie Sanders, est le dernier démocrate à avoir mis sa casquette sur le ring. La base de la marque de M. Sanders et la reconnaissance de l’aide apportée par l’un des membres du parti l’ont catapulté au premier plan. Il rejoint le sénateur du Massachusetts Elizabeth Warren, qui a été le premier titre important à déclarer une œuvre, ainsi que le sénateur du New Jersey, Cory Booker et la sénatrice de Californie, Kamala Harris. Kirsten Gillibrand, sénatrice de la Grosse Pomme; Le sénateur du New Jersey, Cory Booker; La sénatrice du Minnesota, Amy Klobuchar; le maire de San Texas et Antonio, Julian Castro; ainsi que le maire d’Indiana and Bend, Pete Buttigieg, qui semble être la toute première personne ouvertement homosexuelle à se produire pour le rôle de leader. La plupart des labels dont on parle le plus doivent toutefois déclarer leurs objectifs. L’ancien vice-directeur général, Joe Biden, envisage un travail. Il apprécie la reconnaissance de la marque la plus efficace du pays et les experts affirment qu’il ferait un bond aux autres candidats pour atteindre le sommet des sondages précédents s’il devenait candidat. Beto O’Rourke, un ancien membre du Congrès de Tx qui avait suscité l’intérêt du pays alors qu’il organisait une compétition serrée entre le Sénat et le républicain en exercice Ted Cruz, a gardé les fans et les donateurs probables en attente depuis qu’il pèse sur ses alternatives. M. O’Rourke a présenté au Sénat une stratégie inhabituelle, publiant des mises à jour inédites de sites Web sociaux alors qu’il parcourait les 254 comtés à l’intérieur de l’express, alimenté par des milliers de dollars en contributions modestes.

En motoneige à La Plagne

Contrairement à la plupart des gens, le niveau du thermomètre est inversement proportionnel à mon humeur : plus il baisse, et plus j’ai le sourire. Parce que cela me rapproche des activités de glisse, que j’adore par-dessus tout ! Il y a peu, par exemple, j’ai opéré une randonnée en motoneige à La Plagne. J’en avais déjà faite une il y a quelques années, et j’avoue que j’avais hâte de recommencer un de ces quatre. Et là aussi, je n’ai pas été déçu. Parce que la motoneige offre des sensations vraiment remarquables : on a non seulement le plaisir de la conduite mais aussi le plaisir de la glisse. Il y a donc un vrai plaisir à piloter ces engins. Mais je crois que c’est davantage l’ambiance qui me charme dans cette activité. Parce ce qu’on ressent au cours de ces randonnées est assez unique. Quand vous pilotez au milieu de nulle part et que le soleil disparaît peu à peu, le monde se résume au fil des minutes à ce qui apparaît dans le faisceau des phares : un univers de blancheur et de silence. Vous avez à ce moment un peu l’impression d’être Dorothy découvrant le pays d’Oz. Je ne sais pas pourquoi ces moments de solitude m’enchantent tellement. Je crois que c’est mon moyen à moi de reprendre pied. Dès lors que je me retrouve cerné par la neige, je me sens plus libre. La nature agit sur moi comme un Lexomil. Parce qu’elle se fiche éperdûment de notre monde et des événements de l’actualité. Le Brexit est insignifiant pour les arbres, et Poutine n’intéresse pas plus la roche. En fait, plus je m’enfonce au milieu des éléments, et plus je prends un peu de cette insouciance « naturelle » : du coup, j’en reviens totalement relaxé. Et l’effet reste un moment. Depuis cette expédition en motoneige, par exemple je regarde d’un oeil plus serein les informations. Et je crois que ma famille adore de me plus m’entendre râler dès que je vois un politique apparaître à l’écran. 😉 Je vous mets en lien le site où j’ai trouvé cette rando en motoneige à La Plagne, si vous voulez en savoir plus.

Les Projets De Vladimir Poutine Pour 2019

Alors qu’il est quasiment assuré d’être réélu à la présidentielle du 18 mars pour un quatrième mandat, Vladimir Poutine a créé la surprise, samedi 10 mars, en annonçant qu’il n’avait aucune intention de changer la Constitution pour pouvoir se représenter pour un troisième mandat consécutif et rester au Kremlin au-delà de 2024. Dans une interview à la télévision américaine NBC, le président russe a insisté : «Je n’ai jamais changé la Constitution, je ne l’ai pas fait pour que cela m’arrange et je n’ai pas de telles intentions aujourd’hui».  Ces dernières semaines, à Moscou, les rumeurs allaient bon train sur les intentions futures de l’indéboulonnable président russe. L’homme est en effet au pouvoir depuis dix-huit ans. Pour respecter la constitution russe qui interdit à un président de faire plus de deux mandats consécutifs, il avait, en 2008, à l’issue de ses deux premiers mandats présidentiels, interverti les rôles avec son premier ministre et protégé Dimitri Medvedev. Ce dernier lui avait succédé à la présidence le temps d’un mandat, tandis que Vladimir Poutine l’avait remplacé comme premier ministre, tout en maintenant son emprise sur le pouvoir. À l’issue de ce mandat présidentiel, en 2012, Dimitri Medvedev était redevenu premier ministre après que Vladimir Poutine se soit fait réélire haut la main à la présidence, en dépit des manifestations organisées dans le pays par l’opposition..  À l’issue du quatrième mandat qu’il semble assuré de faire, Vladimir Poutine suivra-t-il l’exemple du président chinois qui aspire à un mandat illimité  ? Ou se mettra-t-il en retrait après choisi un dauphin de confiance ? Ces deux hypothèses étaient scrutées, ces derniers jours, par tous les spécialistes de la Russie. Le président russe a donc balayé la première, selon lesquelles il ne pouvait pas quitter le pouvoir car cela le mettrait en danger, déclarant avoir entendu «bien des délires à ce sujet».  «Pourquoi voulez-vous qu’après moi, le pouvoir en Russie soit assuré nécessairement par des personnes prêtes à détruire tout ce que j’ai fait ces dernières années?», a-t-il demandé dans son interview à la télévision américaine NBC. Puis, il a assuré que dès 2000 il avait pensé à un potentiel successeur. «Cela ne fait pas de mal d’y penser mais en fin de compte, c’est le peuple russe qui décidera». Reste à savoir si, à l’issue de son quatrième mandat, le président russe s’en tiendra effectivement aux intentions qu’il affiche aujourd’hui.  Interrogé sur son principal opposant Alexei Navalny, qui ne peut concourir à la présidentielle en raison d’une condamnation judiciaire qu’il estime orchestrée par le Kremlin, Vladimir Poutine a refusé de citer son nom, comme il l’a toujours fait en public. Il a préféré parler de «certaines forces politiques».  «Ce que j’apprécie en principe? C’est qu’elles exposent les problèmes et c’est une bonne chose, c’est vraiment juste. Mais ce n’est pas suffisant pour le développement positif du pays. Absolument insuffisant. Car attirer l’attention sur les problèmes, c’est non seulement insuffisant, mais même dangereux car cela peut conduire à une certaine destruction. Et nous avons besoin de création», a-t-il conclu.

Macron, vers la fin

Emmanuel Macron a affirmé vouloir contrôler tel que le dieu romain Jupiter, tout en restant attentif aux problèmes quotidiens des gouvernements. Mais moins de 90 jours après le début de son mandat, les chiffres de son sondage montrent à quel point il est mortel. Un sondeur structuré par You.K., YouGov, a noté une chute en six étapes du classement des endossements des nouveaux dirigeants, qui est passé de 43% à 36% par rapport au mois de juillet. Le sondeur français Ifop a observé une chute identique sur la même période, rappelant que: «Mis à part Jacques Chirac en juillet 1995, un directeur récemment élu n’a jamais vu son niveau d’acceptation baisser aussi facilement en été, juste après les élections politiques. «La baisse de popularité peut être un changement radical par rapport au mois de juin, lorsque les deux Macron avec son excellent ministre fantastique, Édouard Philippe, ont découvert que leurs scores en matière d’autorisation étaient passés de 62 à 64% et de 55 à 64%, en conséquence. Cependant, le montant de la réputation n’est pas entièrement hors norme. L’ancien directeur général, François Hollande, a apprécié l’approbation de 56% au même stade de sa présidence; son prédécesseur Nicolas Sarkozy était plus grand, avec 66%. Ce qui est peut-être le moins conventionnel est sans aucun doute la durée de la réputation de Macron. Sa présidence a bénéficié de nombreuses améliorations au début, y compris des rencontres importantes avec des dirigeants étrangers, par exemple le chef exécutif Trump (tous deux engagés dans une poignée de main désormais populaire que Macron a ensuite avouée dans le but de montrer qu’il ne ferait aucune concession) et le russe Vladimir Poutine (dans lequel Macron a ouvertement accusé les médias européens d’être «des agents de l’effet et de la propagande»). Même si ce type de réunion augmentait les informations diplomatiques de Macron (la France figurait au premier rang des potentiels doux du monde dans un questionnaire annuel, dépassant ainsi les Etats-Unis et la Grande-Bretagne), elles n’avaient que peu d’efforts pour calmer leurs inquiétudes chez eux. Jérôme Fourquet, spécialiste de la politique à l’Ifop, a mentionné la fanfare autour de Trump et que les voyages de Poutine étaient satisfaits de la colère du public français, ce qui n’a pas plu à l’innovateur. Mais il a également attribué la diminution de la réputation de Macron à sa volonté de réorganiser le code du programme de travail du pays. En outre, il a recommandé une réduction de 850 millions d’euros à la fourchette de prix de protection de l’année, décision qui a entraîné la démission du général Pierre de Villiers, chef des forces françaises. «Il a milité sur l’idée de perdre du poids pour le statut de français et de le rendre finalement plus compétitif», m’a confié le Dr David Lees, spécialiste du Warwick College spécialisé dans la politique nationale française. « Ces choses vont confirmer leur impopularité, car elles impliquent un grand bouleversement de la manière dont la France organise son organisation ». Ce bouleversement consiste notamment à réduire d’un tiers le nombre de législateurs français, à minimiser les investissements publics et à employer une variété de marchés. réformes financières agréables (comme les nouvelles politiques qui donnent aux employeurs une plus grande flexibilité d’utilisation et de possibilité de chauffer les foyers).

Sous influence

Les politiques nous prendraient-ils, encore plus qu’avant, pour des imbéciles ? C’est bien ce qui semble être le cas. J’ai en effet fait un colloque à Amman il y a quelques jours, pendant lequel j’ai pu discuter des futures élections avec plusieurs personnes. Et certains d’entre nous étaient très étonnés par le revirement qui est en cours dans le milieu politique, ces derniers temps. Ce changement provient d’Amérique. Trump semble en effet avoir empoisonné le milieu politique français avec ses manières ahurissantes. Jamais, auparavant, un politique français n’aurait eu le culot d’affirmer qu’il retirerait sa candidature s’il était mis en examen, pour revenir ensuite sur sa parole le mois suivant ; et s’il avait dû faire une telle chose, il y aurait mis les formes, aurait au moins pris le temps d’expliquer pourquoi ! Là, ce n’est même pas le cas. Et c’est somme toute logique. Lorsqu’un sémillant milliardaire outre-atlantique peut se contredire d’un jour à l’autre, il ne paraît plus aussi utile de faire face à certaines réalités, ou de répondre sérieusement aux critiques. D’où l’emballement auquel on assiste actuellement chez certains politiques, qui sont de plus en plus déconnectés dans les réponses qu’il font aux médias. Une investigation perturbe un candidat ? C’est parce que ce dernier fait peur avec un programme innovant. Une déclaration pose souci à quelqu’un ? L’enregistrement est un efu ! Au final, il n’y a plus même de réalité à laquelle se raccrocher. Depuis la consécration de Trump, on entrevoit comme les pays ne marchent pas de façon isolée : ils fonctionnent sur le principe des vases communicants, et ce qui se produit dans les pays voisins a un ascendant considérable sur les événements qui se déroulent chez nous. Ce phénomène ne se limite d’ailleurs pas à la situation économique : c’est également un état d’esprit général qui s’installe… Quoi qu’il en soit, ce colloque a été une vraie réussite : le programme était vraiment impeccable. Je vous mets en lien l’agence qui l’a mis sur pied, si vous souhaitez jeter un coup d’oeil. En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste réputé de ce séminaire en Jordanie.

Production électrique

La puissance maximale appelée depuis le réseau de transport au cours du trimestre est de 96,6 GW. Cette pointe de consommation, qui a eu lieu le 28 février 2018 durant l’épisode de froid « Moscou-Paris », est supérieure de 2,6 % à celle du premier trimestre 2017. Au premier trimestre, le solde exportateur des échanges physiques poursuit nettement son rebond, progressant de moitié sur un an. Il s’améliore ainsi aux interconnexions frontalières avec la Belgique, l’Italie, l’Espagne et la Grande-Bretagne, mais recule en revanche aux interconnexions avec l’Allemagne et la Suisse. Il s’était fortement dégradé entre la fin de l’été 2016 et le début de l’année 2017, du fait du fort recul de la production nucléaire sur cette période. En données corrigées des variations saisonnières, climatiques, et des jours ouvrables, l’énergie appelée stagne entre le quatrième trimestre 2017 et le premier trimestre 2018. Si la basse tension augmente légèrement de 0,6 %, les moyenne et haute tensions diminuent toutes deux, respectivement de 0,3 % et de 1,1 %. contre 61,5 $ au trimestre précédent. Mesurée en euros, la hausse est moindre, du fait du net renchérissement de la monnaie européenne face au dollar. L’action concertée de l’OPEP et de ses partenaires pour plafonner leur production ainsi que les perspectives de croissance de la demande mondiale ont soutenu les cours. La forte hausse de la production américaine a toutefois joué en sens inverse, expliquant en grande partie le repli des cours pendant la première quinzaine de février. Les cours du gaz sur les marchés du nord-ouest de l’Europe sont également orientés à la hausse au premier trimestre 2018, dans un contexte de demande soutenue. À 22,5 €/MWh, le prix spot du gaz naturel sur le marché NBP à Londres croît ainsi de 11 % par rapport au quatrième trimestre 2017. Le prix spot moyen de l’électricité livrable en France recule en revanche de 22 %, pour s’établir à 44 €/MWh en moyenne sur les trois premiers mois de l’année. La hausse sensible des productions nucléaire et hydraulique a en effet allégé les tensions liées à la sécurité d’approvisionnement en électricité.

Déploiement des Migs Polonais

La Pologne a envoyé quatre de ses chasseurs RAC MiG-29A à la base aérienne de Šiauliai en Lituanie pour une période de service de police aérienne balte, tandis que des tensions accrues entre les membres de l’OTAN et la Russie Déployé d’une base aérienne à Malbork le 29 avril dans le cadre d’un détachement de « Orlik 5 » de quatre mois destiné à protéger l’espace aérien de l’Estonie, de la Lettonie et de la Lituanie, l’aviation polonaise est appuyée par un contingent d’environ 100 personnes. huit pilotes. Ils sont rejoints à Šiauliai par quatre Eurofighter Typhoons de la Royal Air Force britannique. Le 28 avril, quatre chasseurs Dassault Rafale C des bases aériennes de l’aviation française de Mont-de-Marsan et de Saint-Dizier ont atterri à Malbork, à partir d’un détachement de quatre mois impliquant également une centaine de personnes. L’appareil à siège unique s’entraînera conjointement avec l’armée de l’air polonaise et pourrait également être envoyé, le cas échéant, pour soutenir la mission de police aérienne de la mer Baltique. « Nous commençons faire non seulement des gestes symboliques, mais aussi entamer un travail responsable pour que l’Alliance de l’Atlantique Nord puisse toujours trouver une réponse appropriée et appropriée aux menaces qui s’imposent près de nos frontières », a déclaré le président polonais Bronislaw Komorowski. suivi et mise à jour des plans d’urgence « . Le ministre de la Défense, Tomasz Siemoniak, accompagné de son homologue français, Jean-Yves Le Drian, a déclaré: « Il s’agit d’une mission spéciale qui nous pose des défis particuliers. Je suis convaincu que les soldats polonais et français rempliront parfaitement cette tâche.  » Les MiG-29 polonais ont totalisé 750 heures de vol sur quatre détachements précédents d’Orlik en Lituanie entre 2006 et 2010. Le dernier engagement de Varsovie est associé à un coût de 7,8 millions de ZL (2,6 millions de dollars). La mission balte sera également soutenue, à partir du 1er mai, par quatre Lockheed Martin F-16AM de l’armée de l’air danoise, ces derniers étant déployés sur la base aérienne d’Ämari en Estonie, dans le cadre de l’OTAN. dit. Par ailleurs, le 29 avril, six chasseurs CF-18A des Boeing de l’Aviation royale canadienne ont quitté la base aérienne de Bagotville, au Québec, en direction de la Roumanie, accompagnés d’un ravitailleur / transporteur de l’Airbus A310. « Le groupe de travail sur l’air restera déployé jusqu’à ce que le gouvernement du Canada en ordonne autrement », a déclaré le service, qui engage près de 230 personnes dans cette activité. Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé le déploiement prévu le 17 avril, notant: «Avec nos alliés de l’OTAN, nous reconnaissons la nécessité de renforcer la sécurité et la stabilité en Europe centrale et orientale». En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste renommé de ce vol en L-39.

Trump attaque l’Europe sur Google

Le président américain Donald Trump a critiqué mercredi la décision de l’Autorité de surveillance de la concurrence européenne d’infliger une amende de 5 milliards de dollars à Google, affirmant que l’UE avait « profité des Etats-Unis ». Il a écrit sur Twitter jeudi: « Je vous l’avais bien dit: l’Union européenne vient d’infliger une amende de cinq milliards de dollars à l’une de nos grandes entreprises, Google, qui ont vraiment profité des États-Unis, mais pas longtemps! » Trump semblait utiliser l’amende antitrust comme une arme dans sa guerre commerciale en cours avec l’Union européenne. Mercredi, il a menacé « d’énormes représailles » contre l’UE à moins que le bloc n’accepte des concessions commerciales substantielles. Il coïncide avec la décision du commissaire européen à la concurrence d’infliger à Google la plus grande sanction antitrust de la part d’une seule société, en raison de l’utilisation abusive de son système d’exploitation mobile Android dominant. Margrethe Vestager a déclaré que Google avait utilisé son logiciel mobile populaire pour protéger sa position dans la recherche. L’enquête a commencé en 2015, avant la présidence de Trump de plus d’un an, et n’est pas immédiatement pertinente pour le commerce entre les États-Unis et l’UE. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, étant donné le contexte de tension croissante entre l’UE et les États-Unis. Un journaliste a cité Trump, qui a déclaré au président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker lors de la réunion du G7 le mois dernier: « Votre fiscaliste déteste vraiment les Etats-Unis. » Vestager a plaisanté en disant que la déclaration n’était qu’à moitié vraie. « Je travaille avec l’impôt et je suis une femme, donc c’est 100% correct », a-t-elle dit, mais elle a ajouté: « J’aime beaucoup les États-Unis. » Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, décrivant l’UE comme un «ennemi» des États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium importés de l’UE et envisage d’étendre ces droits aux voitures importées. Le président devrait mener des pourparlers avec le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à la Maison Blanche la semaine prochaine, où il pourrait choisir de ramener l’amende de Google à nouveau.

Le terrorisme : un contentieux de masse

L’impact des filières syro-irakiennes est sans commune mesure avec ce que les autorités avaient connu jusqu’ici. A l’ampleur du phénomène djihadiste et l’accélération des départs sur zone au cours des années 2013-2014 a répondu la massification de la radicalisation et de la menace intérieure, avec désormais 20.000 individus inscrits au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) dont 4.000 objectifs dits du « haut du spectre » suivis par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). La France est également devenu le pays occidental le plus touché par les actes de terrorisme liés au contexte syro-irakien, avec 15 attentats, 10 tentatives et 48 projets d’attentat entre 2013 et 2017. Le terrorisme djihadiste est devenu un véritable contentieux de masse. Au 15 mai 2018, le Parquet de Paris traitait ainsi 513 dossiers, dont 241 enquêtes préliminaires et 272 informations judiciaires, impliquant 1.620 individus3 . Cette charge, incombant à la section antiterroriste du parquet de Paris (section C1), ne cesse de s’alourdir. Depuis 2012, la section antiterroriste du Parquet de Paris doit faire face à une croissance exponentielle du nombre de dossiers de terrorisme djihadiste, passant de 10 dossiers en 2012 à 240 en 2016. En 2017, le nombre de dossiers a baissé en raison de la contraction des départs sur zone due à la perte d’attractivité de l’EI résultant de son repli territorial. Cette croissance s’observe également au stade du jugement, avec une augmentation de plus de 250% du nombre de condamnations pour association de malfaiteurs terroriste délictuelle entre 2012 et 2017.

Gros trou d’air

Le week-end dernier, par une belle matinée. J’essuie la sueur sur mon visage. Il n’y a pas à dire, la peur me tenaille. Et à raison : je suis sur le tarmac d’un aérodrome à La Roche, harnaché sur le siège d’un Extra 330 LX, un appareil bi-place très performant et qui s’apprête à décoller pour une séance de voltige aérienne. Cela faisait longtemps que j’y songeais et que je regardais les vidéos de personnes ayant sauté le pas. Mais vous l’avez peut-être déjà remarqué : il y a une légère différence entre regarder quelque chose depuis son écran et le vivre depuis l’intérieur. Lucas, mon ange-gardien et vétéran de voltige (il fait ça depuis bientôt 10 ans), me prévient que c’est le moment d’y aller. L’appareil tousse puis se met à rugir. L’avion accélère et nous décollons enfin, direction le secteur de voltige. On commence fort, en ouvrant le bal avec un looping. Je me retrouve quelques secondes la tête en bas et tente de retrouver mon souffle. C’est un chouia plus violent que ce à quoi je m’attendais ! L’accélération dans la montée m’a littéralement estomaqué. Et ce n’était là qu’une manière de nous ouvrir l’appétit ! Lucas enchaîne immédiatement avec une série de tonneaux dont je ressors un peu groggy. A partir de là, je ne prête plus trop attention aux acrobaties et à leurs noms savants : je suis bien trop occupé à serrer les dents pour tenir le coup. C’est qu’à certains moments, mon corps doit encaisser jusqu’à 6G : je pèse alors 6 fois mon poids habituel. Autant vous dire que c’est rude. Très rude. Et pourtant, malgré tout, je me sens bien. Je sens que le pilote maîtrise ses gestes, même quand ça devient n’importe quoi. Dix minutes plus tard, il est cependant déjà temps de redescendre. Ca peut paraître rapide, mais d’un autre côté, il n’aurait pas fallu que ça dure plus longtemps : je descends épuisé de l’avion. Malgré tout, je n’ai pas le moindre regret : c’était absolument merveilleux, et ce moment risque de hanter mes rêves pendant longtemps. Je vous mets en lien mon vol à La Roche, si vous voulez approfondir le sujet ! A lire sur le site de cette expérience de voltige en avion à La Roche sur Yon.